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Grand (1,85 m) et mince, mais aussi créatif et littéraire, Max Wallis a un look de beau mec romantique. Rien que de très logique pour ce jeune homme qui cite comme sources d’inspiration un certain George Gordon (alias lord Byron) et la poétesse bisexuelle Carol Ann Duffy, ou encore Emily Dickinson et Sharon Olds.
Ci-dessous, en mai 2012, Max Wallis livre sa conception de la poésie et de sa restitution en public. Les questions sont sous-titrées, dommage que le bruit d’ambiance ne soit pas plus discret.
Max Wallis va donc, une fois par mois, écrire un poème et le mettre en vidéo pour le réseau social gay Grindr. Là encore, Max Wallis n’a pas été choisi par hasard, puisqu’il s’est déjà fait un nom dans l’univers de la poésie, de la vidéo et du mannequinat, mais aussi du journalisme et de la littérature. Ses sujets littéraires de prédilection, comme l’atteste son livre Modern Love (dont le titre est emprunté à un poème de George Meredith), ont beaucoup à voir avec l’amour et le désir sous toutes leurs formes, en particulier physiques et sexuelles.
Max Wallis sera l’auteur, l’interprète et le producteur de ses poèmes vidéo, mais les vidéos poétiques seront tournées par Ashley Joiner, réalisatrice du long-métrage documentaire Pride?, dont le festival de cinéma LGBT londonien BFI Flare organise la première mondiale (le 26 mars 2017 à 13 h, mais inutile de chercher des places car tout est sold out).
Les vidéos de Wallis et Joiner seront diffusées à la fois sur l’appli Grindr et sur la nouvelle plateforme, intitulée Into, que va lancer le réseau social gay.
Commentaire. Je ne sais pas quelle est la qualité littéraire des deux livres déjà publiés par Max Wallis, auteur inconnu au catalogue de la bibliothèque électronique Overdrive. Une chose est sûre, le jeune homme sait se mettre en valeur, que ce soit en image ou par écrit – avec un art consommé du name dropping qui ne le place jamais en mauvaise situation.
Philca / MensGo
Source principale : Max Wallis dans The Guardian, 26 février 2017
Source consultée en premier : ActuaLitté, 3 mars 2017.